Sebastien Desnoulez découvre la photographie à l’âge de 18 ans, à l’occasion de son premier voyage aux États-Unis.

Il se forme à l’université Stephen F. Austin de Nacogdoches, au Texas, avant de débuter une carrière de photojournaliste en agence de presse.

Il couvre alors les plus grands événements du sport automobile, Formule 1, Indycar, 24 Heures du Mans, affinant son regard sur le mouvement, la vitesse et la composition.

Sebastien Desnoulez construit son écriture photographique sur les oppositions et la composition : flou et netteté, mouvement et immobilité, ombre et lumière, minéral et végétal. Ses images peuvent suivre une rigueur “académique”, avec des cadres précis et des alignements géométriques, ou au contraire s’en affranchir lorsque le sujet et la lumière l’appellent ailleurs, vers une composition plus ouverte, épurée, tout aussi graphique.

Dans son travail, le style n’est pas un moule : il naît à chaque fois de l’élément clé de l’image, un geste, une ligne, une matière, une tension lumineuse. C’est ce fil conducteur qu’il revendique et qu’il poursuit, refusant d’être enfermé dans une signature répétitive : chaque photographie est la synthèse d’un lieu, d’un instant et d’une lumière.

Son travail s’exprime avec force dans la photographie d’architecture et de voyage, où l’épure dialogue avec la structure et la lumière. Il y développe une approche de photographie d’art à travers ses séries Darkchitecture et Glitches.

Sebastien Desnoulez présente ses tirages d’art en édition limitée sur la galerie en ligne Une image pour rêver.